Collection(s) : Essai
Paru le 01/04/2019 | Broché 122 pages
Tout public
préface de Patrick Moya | postface de Yves-Marie Lequin
De Terra Amata à Ludovic Bréa, De Mirhalet à Picasso et de Jean Hartung à Yves Klein, Nice et sa région ont toujours été un foyer vivant pour les artistes. Depuis les années 60, on parle beaucoup de l'École de Nice et des quatre mouvements qui l'ont composée mais Nice est toujours une ville d'art et d'artistes. La région niçoise compte toujours quelques artistes déjà largement reconnus nationalement et internationalement. Je pense notamment à Ben, Patrick Moya, Thierry Lagalla ou Emmanuel Régent...
Qu'en est-il des autres créateurs ? Où en est cette création contemporaine niçoise ? Des collectifs se créent et se développent, des indépendants cherchent à renouveler l'art en dignes chercheurs qu'ils sont. Tentons donc de faire la lumière sur cette nouvelle scène artistique niçoise, entre synergie et électrons libres.
Morgane Nannini, née au début des années 90 à Nice, se découvre très tôt une passion pour l'art et l'archéologie. Après une licence d'histoire de l'art et archéologie à l'Université Aix-Marseille I, elle intègre l'Université Paris I - Panthéon-Sorbonne d'où elle sortira diplômée d'une Maîtrise d'histoire de l'art spécialité art contemporain et d'un Master II Recherche en histoire et politique des musées et du patrimoine artistique.
Elle a publiée en 2016, aux éditions Baie des Anges L'École de Nice, mythe ou réalité. Aujourd'hui, Morgane vit et travaille à Nice en qualité d'historienne de l'art et conférencière (MAMAC, Grimaldi Forum Monaco,...).
