La nouvelle utopie : de optimo reipublicae statu

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 258 pages
Poids : 430 g
Dimensions : 15cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782873862664

La nouvelle utopie

de optimo reipublicae statu

de

chez Racine

Paru le | Broché 258 pages

Tout public

24.95 Indisponible

Quatrième de couverture

On nous dit souvent que notre société manque de vision, de réflexions politiques qui dessinent un avenir. Le livre de Rudolf Reszohazy dément cette opinion.

L'auteur n'a pas voulu écrire un ouvrage doctrinal qui risquait d'être ennuyeux. Il pensait qu'un récit de voyage dans un pays de «nulle part» (c'est le sens du mot «utopie») peut traiter de problèmes graves sur un ton qui ne l'est pas. Et que ce récit pourrait captiver le lecteur.

Aussi Rezsohazy est-il allé en Utopie : il a interrogé les Utopiens, il a observé leurs mœurs et coutumes, leurs institutions, leurs villes, leurs partis politiques et a lu leurs journaux.

Pourquoi la «nouvelle» Utopie ? Parce qu'il existe un modèle, l'Utopie de Thomas More (1516). Le maître, l'inspirateur. Le sous-titre de son chef d'œuvre est De optimo reipublicae statu, c'est-à-dire «Discours sur la meilleure forme de communauté politique».

N'était-il pas présomptueux de vouloir reprendre le travail d'un des géants de l'humanité ? Rezsohazy a estimé que la tâche était possible s'il s'armait d'humilité et d'humour... et que, de toute façon, More le lui pardonnerait.

L'utopie n'est ni chimère, ni idéologie. Elle invite seulement à penser, en esquissant un horizon dont nous pouvons nous approcher.

Ce livre est une lecture vivifiante pour toute personne intéressée par la construction de la cité.

Biographie

R. Rezsohazy est professeur émérite à l'Université catholique de Louvain. Historien de formation, son itinéraire intellectuel l'a conduit vers la sociologie et la science politique, avec une problématique centrale, le changement social et politique. Son dernier livre (Pour comprendre l'action et le changement politiques, Duculot, 1996) reflète bien cette préoccupation. Il a enseigné des cours comme Histoire de la civilisation occidentale, la Critique historique, la Recherche empirique en science politique, la Culture politique...

Il est président de l'Association Internationale de Développement des Communautés, membre de l'Académie Royale des Sciences d'Outre-Mer, chroniqueur au quotidien La Libre Belgique.