La Peyrouse, en Périgord : un site aux prises avec l'histoire

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 263 pages
Poids : 590 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-491344-14-6
EAN : 9782491344146

La Peyrouse, en Périgord

un site aux prises avec l'histoire

chez Les éditions Secrets de pays

Collection(s) : Histoire & mémoires

Paru le | Broché 263 pages

Tout public

20.00 Disponible - Expédié sous 10 jours ouvrés
Ajouter au panier

préface Gérard Fayolle | avant-propos Bernard Cougoul | postface Brigitte Delluc


Quatrième de couverture

La Peyrouse en Périgord

Un site aux prises avec l'Histoire

Situées sur une voie de long parcours reliant le centre de la Gaule à Aginnum/Agen, les terres de l'ancien domaine de La Peyrouse livrent actuellement, au cours d'importantes campagnes de fouilles scientifiques, les vestiges d'une des plus vastes cités gauloises de France.

Riche d'un passé multiséculaire, l'histoire du site est également portée par des personnes aux tempéraments très attachants, depuis les Rochon de La Peyrouse, une famille de militaires au temps de Louis XV, en passant par une jeune femme, Anna-Euxodie Tocque, qui, pour respecter le voeu de son fils unique, Georges, mort à l'âge de 15 ans, crée en 1899 un orphelinat administré par les Marianistes. En 1907, à la suite de la loi de séparation des Églises et de l'État, Madame Tocque héberge le Grand Séminaire de Périgueux, jusqu'en 1914. Elle doit se battre contre les tentatives de sécularisation des lieux par Monsieur Duez, exécuteur des lois combistes. De 1920 à 1931, l'orphelinat est occupé par les colonies de vacances des enfants des ouvriers de la Compagnie du Chemin de fer de Paris à Orléans, confiées aux Soeurs de Saint-Vincent de Paul. L'année 1931 voit l'arrivée des Frères de Saint-Gabriel qui, en 1972, accueillent les premiers sourds-aveugles.

Aujourd'hui, le Foyer de vie La Peyrouse offre un accueil adapté à une vingtaine de résidents atteints de surdi-cécité, dans le cadre magnifique d'un parc arboré, à l'ombre du « Château », près d'une surprenante chapelle-mausolée dont l'architecture rappelle la cathédrale Saint-Front de Périgueux.