La psychalanyse et les nouvelles méthodes d'investigation de l'inconscient : étude des problèmes de l'inconscient au point de vue du déterminisme psychologique et de la psychanalyse

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : IX-268 pages
Poids : 348 g
Dimensions : 14cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-343-13205-1
EAN : 9782343132051

La psychalanyse et les nouvelles méthodes d'investigation de l'inconscient

étude des problèmes de l'inconscient au point de vue du déterminisme psychologique et de la psychanalyse

de

chez L'Harmattan

Collection(s) : Les acteurs de la science

Paru le | Broché IX-268 pages

Public motivé

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préface de Roger Teyssou


Quatrième de couverture

Acteurs de la science

La psychanalyse et les nouvelles méthodes d'investigation de l'inconscient

L'ouvrage de Marie, paru en 1928, reflétait l'indécision des neuropsychiatres français vis-à-vis du freudisme. Néanmoins, il montrait que la résistance aux conceptions du prophète viennois faiblissait, ce qui faisait dire à Marie dans l'avant-propos de son livre : Tout comme l'alchimie précéda la chimie et l'astrologie préparant l'astronomie, toute science positive et établie sur les faits est préparée et précédée d'empirisme : il y a une métapsychiatrie comme il y a une métapsychie. Dernier sursaut de lucidité, il écrivait plus loin : En fait de principes, il n'y a que ceux de Lavoisier, de Claude Bernard, de Pasteur. Les méthodes expérimentales et objectives partout et toujours. Mais il retombait dans ses errements passé en s'exclamant quelques lignes plus loin : Salut donc aux nouvelles sciences qui, peut-être, vont changer l'orientation de la pensée humaine. Encore et toujours, l'opinion d'Auguste Marie vis-à-vis de la psychanalyse oscillera entre le vrai et le chimérique, entre le désir d'en faire une science exacte et le rejet de ses dogmes intangibles, dilemme que personne ne résoudra jamais.

Biographie

Auguste Marie (1865-1934) fut directeur de la colonie familiale de Dun-sur-Auron (Cher) en 1891, institution qu'il contribua à créer et qui accueillait au sein de familles les malades mentaux susceptibles de bénéficier d'un régime de liberté familiale. Il fut chef de service à Villejuif et enfin à Saint-Anne où il termina sa carrière. Il mourut en 1934 à Orly dont il avait été maire et conseiller général.