Paru le 01/09/2012 | Relié 144 pages
Tout public
textes de Gérard Noiriel
Ce livre était nécessaire pour moi : je voulais donner une valeur bien à moi à cette usine dans laquelle j'ai travaillé en tant que fils d'employé.
Dans la région on l'appelait La Fonderie, mais je sais bien que c'était une petite fonderie, une usine comme il en a existé beaucoup.
Je suis retourné la photographier dans le silence, après l'arrêt de la production.
Je voulais faire des photographies qui montrent une part de poésie étrange, secrète et immobile.
J'espérais qu'ainsi, à travers cette histoire particulière, ces photographies parviendraient à nous parler de la violence et de la beauté de la vie des hommes.