La science au pluriel : essai d'épistémologie pour des sciences impliquées : conférence-débat à l'Inra de Paris, le 2 décembre 2014

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 83 pages
Poids : 94 g
Dimensions : 12cm X 19cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7592-2398-5
EAN : 9782759223985

La science au pluriel

essai d'épistémologie pour des sciences impliquées
conférence-débat à l'Inra de Paris, le 2 décembre 2014

de

chez Quae

Collection(s) : Sciences en questions

Paru le | Broché 83 pages

Public motivé

Poche
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organisée par le groupe Sciences en questions


Quatrième de couverture

Sciences en questions

Plusieurs hypothèses en épistémologie sont formulées dans cet ouvrage pour penser et agir sur le pluralisme des sciences. Léo Coutellec propose de construire un espace de réflexion critique sur ce qu'il nomme la science impliquée. Nom d'une science qui prend acte de sa responsabilité, attentive aux conséquences, une science qui ouvre la possibilité d'un questionnement sur ses finalités, qui ne revendique plus sa neutralité axiologique pour affirmer son objectivité, la science impliquée vise au partage des savoirs et des pouvoirs liés à ces savoirs. Pour l'auteur, l'enjeu est de doter la science d'un nouveau principe démocratique qui permettrait, non pas de la sortir de la tourmente sociétale dans laquelle elle semble être prise, mais de la penser au pluriel dans la profondeur de son implication radicale au réel. Sa réflexion épistémologique sur les sciences rejoint celle de l'éthique.

Issu d'une conférence donnée à l'occasion du 20e anniversaire du groupe Sciences en questions, ce petit ouvrage renouvelle les réflexions épistémologiques et philosophiques au sein de la démarche scientifique et notre façon de penser la responsabilité dans les sciences.

Biographie

Léo Coutellec est chercheur en épistémologie et éthique des sciences contemporaines à l'université Paris-Sud et à l'Espace éthique Île-de-France. Ses recherches visent au renouvellement de la pensée épistémologique dans ses liens avec l'éthique.
Il a notamment coordonné pour la revue
Écologie et Politique le dossier « Le temps des sciences impliquées ».