La tradition chrétienne : histoire du développement de la doctrine. Vol. 2. L'esprit du christianisme oriental : 600-1700

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 360 pages
Poids : 545 g
Dimensions : 15cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-13-045611-7
EAN : 9782130456117

L'esprit du christianisme oriental

600-1700

de

chez PUF

Serie : La tradition chrétienne : histoire du développement de la doctrine. Vol 2

Collection(s) : Théologiques

Paru le | Broché 360 pages

Public motivé

17.50 Disponible - Expédié sous 7 jours ouvrés
Ajouter au panier

traduit de l'anglais par Jean-Louis Breteau | révisé par Jean-Yves Lacoste | traduction établie avec la collaboration de Françoise Vinel et Muriel Debié


Quatrième de couverture

Une histoire intégrale des doctrines chrétiennes, au-delà des limites entre Eglises. Elle permet de comprendre vingt siècles de vie intellectuelle, dans tous les domaines : philosophie, droit, art, sciences, littérature, politique.

Onze siècles d'histoire intellectuelle de l'Orient chrétien. Malgré leur traditionalisme théologique, ils furent tout sauf une période de sommeil théorique.

Ils virent les Eglises issues des schismes du Ve siècle fixer et figer leurs doctrines. Mais il virent aussi l'Orient byzantin apporter au VIIe siècle des contributions majeures à la christologie, élaborer au VIIIe une théologie de l'image, et accepter au XIVe les solutions neuves apportées par Grégoire Palamas au problème du salut et de l'avenir absolu de l'homme. Entre-temps, le christianisme aura dû poser à nouveau la question de son rapport au judaïsme, s'affronter à de nouvelles formes de dualisme, et faire face au défi du « troisième monothéisme » - l'Islam.

Ces siècles furent aussi ceux où l'éloignement progressif de l'Orient et de l'Occident culmina dans une rupture de communion dans laquelle les facteurs culturels ne furent jamais sans conséquence théorique. Et il virent aussi apparaître dans les derniers temps de l'Empire byzantin un « héritier présomptif », la Russie, à qui Orient et Occident chrétiens devront finalement, au XIXe siècle, d'avoir à nouveau une histoire commune.