Collection(s) : Petite collection
Paru le 04/10/2018 | Broché 108 pages
Tout public
Mais peindre, c'est tromper son âme ; peindre, c'est absorber un narcotique ; vivre est le but ; peindre, c'est le rêve ; et la vie en pleine puissance, c'est la réalisation des rêves.
Né à Delfshaven, près de Rotterdam, Kees Van Dongen (1877-1968) s'établit à Paris en 1897. Il est alors profondément marqué par Édouard Vuillard et Paul Gauguin. Il s'installe à Montmartre, au Bateau-Lavoir, et collabore aux revues satiriques L'Assiette au beurre, Le Rabelais ou encore L'Indiscret. Il jouit d'une première exposition personnelle, organisée par Ambroise Vollard, en 1904. L'année suivante, ses peintures sont présentées dans la fameuse salle fauve lors du Salon d'automne. S'il a dépeint les gloires et misères de la Belle Époque, il se consacre, après la Première Guerre mondiale, à la réalisation de portraits mondains.