Les épaules et Le sourire

Quatrième de couverture

La vie n'est pas un conte de fées si on se trompe de personnages et surtout de sourire, ou que l'on oublie l'articulation de nos chevilles, de nos histoires. Ou encore la largesse et la générosité des épaules de ceux qui nous aiment en toute sincérité. Ce roman, rythmé en trois parties, La cheville, les épaules et Le sourire, vous invite à trouver votre fée légendaire. Les miracles arrivent toujours par le biais d'un regard. Savoir « Entendre le bruit de la terre, son empreinte de mystère » dans un décor de menhirs bretons pour naviguer sur le fil rouge de son destin au gré des rencontres, ce roman redonne un sel d'optimisme dans l'amour, malgré les épreuves.

Le récit démarre comme un coup de Sirocco, comme on hisse les voiles d'un bateau, Adèle tombe sous le charme de Victor lors d'un rendez-vous professionnel. Hantée par cet homme, elle part à Marrakech avec Sophie, son amie d'enfance.

Elle se trouve alors confrontée à des souvenirs qu'elle croyait enfouis. Sa mère, une maison rose, des secrets de famille, des amours posthumes. Des événements étranges se produisent dans cette maison jusqu'alors inconnue. L'esprit de sa mère demeure encore présent entre les murs, dans l'invisible, entre les pierres. Son âme est toujours là quelque part. Une autre intrigue commence alors. Adèle décide de quitter les lieux et de partir s'installer dans le Morbihan. Mais les choses ne se passent jamais tout à fait comme on s'y attend, comme au cinéma...

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