Paru le 02/05/2012 | Broché 221 pages
préface d'André Brincourt | postface de l'auteur
C'est un livre sur la guerre en Algérie. L'histoire d'un appelé qui n'a pas demandé à la faire et qui se retrouve à vingt ans dans les maquis.
C'est aussi un livre sur l'amour des mères, qui défendent leurs enfants contre la haine et la violence.
C'est enfin et avant tout un livre sur la force de la vie, car ce qui cherche à s'exprimer ici à travers ces mots, c'est un grand débordement, une profusion d'énergies, une merveilleuse abondance à laquelle on ne peut donner de nom. Ou bien il n'y en a qu'un et c'est : la vie la vie...
Alain Vircondelet est né à Alger. Il écrit sur son pays natal depuis 1981. Romans et récits autobiographiques ont fait de lui, sur les deux rives, «de tous les écrivains nés en Algérie celui qui possède le rapport le plus charnel, le plus passionné et le plus clairvoyant à la fois à sa terre d'origine» (Tahar Djaout). Parmi ses livres : La Maison devant le monde, Maman la Blanche, Tant que le jour te portera, Alger l'Amour, La Traversée et Albert Camus, fils d'Alger (prix Méditerranée de l'essai). On lui doit aussi l'album C'était notre Algérie (avec J.-P. Stora, L'Archipel, 2011).
