La voie sans chemin : le premier pas est le dernier

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 188 pages
Poids : 237 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-86316-349-8
EAN : 9782863163498

La voie sans chemin

le premier pas est le dernier

de

chez Accarias-L'Originel

Paru le | Broché 188 pages

Tout public

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traduction Marc Marciszewer


Quatrième de couverture

Il est étonnant qu'il ait fallu presque cinquante ans pour permettre aux lecteurs francophones d'enfin découvrir ce livre de Vimala Thakar. À l'heure où tant d'ouvrages maintiennent les lecteurs dans le champ du mental, de l'émotion, et plus encore dans le champ de concepts et de croyances invérifiables, voici un court texte qui offre un itinéraire précis et rigoureux pour qui veut s'aventurer réellement dans une recherche spirituelle féconde.

C'est un cheminement sur une voie sans trace qui montre la nécessité d'être avec soi-même extrêmement précis, exigeant, totalement honnête dès lors qu'il s'agit de ce qui est vrai et de ce qui est.

Ici, pas de grands discours ni de promesses réconfortantes, pas d'autre miracle que la rencontre réelle avec soi-même, dans toutes les dimensions de notre être, y compris et surtout, dans la dimension non conditionnée, celle du silence, de ce que Vimala Thakar, tout comme Krishnamurti, appelle la méditation.

Vimala Thakar suggère qu'on ne peut prétendre à la méditation véritable sans payer le prix de se connaître de moment en moment très intimement. Il nous faut rencontrer la réalité brute de notre conditionnement, non seulement individuel, mais universel et historique, le conditionnement de l'espèce humaine.

Se voir sans le masque de la personne est bien une clé, sinon la clé, de l'entrée au royaume du silence, de la méditation. Voici un chant mélodieux et décapant.

Biographie

Vimala Thakar (1923-2009) passe huit années dans le mouvement Bhoodan, durant lesquelles elle visite presque tous les États de l'Inde, tenant des meetings, collectant des dons de terres pour les distribuer aux paysans. En 1956, sa rencontre avec Krishnamurti va être capitale et jouer un rôle décisif dans ce retournement en faisant basculer son désir de révolution sociale en une exigence préalable de transformation personnelle. Avant de se retirer à Mont Abu, elle voyage et enseigne à travers le monde.