Ladyland : anthologie de littérature féminine américaine

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 491 pages
Poids : 519 g
Dimensions : 14cm X 18cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-36374-062-5
EAN : 9782363740625

Ladyland

anthologie de littérature féminine américaine

chez 13e note

Paru le | Broché 491 pages

24.95 Indisponible

traduction Ariane Bataille, Annie-France Mistral, Patrice Carrer


Les libraires en parlent

Mlle Camille Poupé (Librairie La Manoeuvre)

Vingt-cinq nouvelles d'écrivaines américaines trés contemporaines dans lesquelles la violence de la femme moderne s'exprime dans une écriture franche et provocante. Un receuil surprenant et nécessaire.

Quatrième de couverture

Ladyland

Anthologie de littérature féminine Américaine

Ladyland réunit 25 nouvelles écrites par des Américaines dans une veine réaliste et autobiographique illustrée avant elles par des auteurs masculins comme William Burroughs, Norman Mailer ou Hunter S. Thompson.

Troisième critère retenu, après le sexe et la nationalité : ces femmes sont nos contemporaines. Ces « ladies » sont post-beat, post-punk, postmodernes et même, d'après certaines, « post-féministes » ; d'autres se sont baptisées « filles de Bukowski ». Dans Ladyland, la littérature rebelle fait un pied de nez à la chick lit. Les thèmes vont du striptease à la prostitution, du go-go dancing à la séduction, de la guerre des sexes au lesbianisme, de l'amour à la mort, de la passion à l'addiction à la désillusion, en passant par toutes les facettes des expériences les plus intenses. La parole est aux rebelles !

« Puissent les femmes, dans le noir miroir de cette anthologie, contempler leur ombre dont les amputent, ne rougissant pas de les transformer en vampires, certains magazines féminins et la littérature générale.
Puissent les hommes chercher cette ombre. »
Patrice Carrer

« La sobriété et la chasteté, ce n'est pas notre truc, même une fois désintoxiquées et célibataires. Les vilaines filles craquent pour les vieux dégueulasses. »
René Diedrich

« [La littérature post-féministe] affirm[e] l'indépendance et l'assurance des femmes, sans minimiser leur part de faiblesse humaine ni prétendre qu'elles soient forcément émancipées [...]. Elle affirme que nous n'avons plus besoin d'être surhumaines. Seulement humaines. »
Cris Mazza