Lanceurs d'alerte : les mauvaises consciences de nos démocraties

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 333 pages
Poids : 356 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-35949-199-9
EAN : 9782359491999

Lanceurs d'alerte

les mauvaises consciences de nos démocraties

de

chez Don Quichotte éditions

Paru le | Broché 333 pages

Tout public

18.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Ce sont des gens ordinaires embarqués dans des histoires dignes des romans de John Le Carré. Souvenez-vous d'Erin Brockovich ou du sergent Frank Serpico, magnifiés par Hollywood, de la pneumologue Irène Frachon à l'origine de l'affaire du Mediator, ou plus récemment d'Edward Snowden. Tous sont des lanceurs d'alerte. Témoins dans leur activité professionnelle d'actes illicites ou dangereux pour autrui, ils tirent le signal d'alarme alors que leur devoir de réserve et de loyauté leur commande de se taire. Pour que nous sachions ce qu'il nous appartient de savoir, ils mettent en péril leur carrière, leur emploi, parfois leur liberté ou même leur vie. Traîtres pour les uns, héros modernes pour les autres, les whistleblowers, selon l'expression anglo-saxonne, défient leur hiérarchie, le cas échéant leur gouvernement, transgressent les règles pour mieux renforcer le subtil et fragile équilibre de la démocratie, quitte à révéler des informations très sensibles, à provoquer des crises politiques.

Dans son livre émaillé de récits passionnants, Florence Hartmann raconte ces personnages tragiques par excellence, célèbres ou moins connus du public, qui ont livré bataille, exposé publiquement la face cachée du pouvoir et parfois changé le cours de l'histoire. On y retrouve Daniel Ellsberg, Mordechai Vanunu, David Kelly, Chelsea Manning, Edward Snowden et Olivier Thérondel. Au fil des pages, l'auteur nous invite à une réflexion sur l'état de santé de nos démocraties et sur notre perception des valeurs qui les fondent.

Biographie

Auteure et ancienne journaliste au Monde, Florence Hartmann a couvert le conflit dans les Balkans avant de travailler aux côtés de Carla Del Ponte, la procureure chargée de poursuivre les criminels de guerre de l'ex-Yougoslavie et du Rwanda. Depuis, elle continue à analyser la politique internationale et à défendre les droits de l'homme.