traduit de l'américain par Sally Price
Quatrième de
couverture
L'auteur fait appel à des témoignages oraux, des documents d'archives, des recherches ethnographiques, des lettres de jeunesse et des scènes de poésie, romans et cinéma pour tisser une histoire des mentalités de la Martinique au XXe siècle. En se servant du massacre de 1925 et de la vie de Médard Aribot, il dévoile le passage de la Martinique de colonie en site touristique.