Collection(s) : P.A.C. Aywaille
Paru le 15/12/2004 | Broché 370 pages
le Best Hof... erlin
de la semaine de l'Echornifleur
Savoureux Jean-Claude ! Quand l'humour décape le scepticisme ambiant, que la joie illumine votre grimace, que le foutu stress s'engloutit dans une cascade de rires, qu'une touche salace titille votre libido et que la gentillesse dissout votre morosité, ne cherchez plus : vous êtes immergé dans l'irrésistible "Best Hof...erlin"
Sa lucidité n'inclut aucune cruauté, son libre-examen ne se double guère de fiel, et tant mieux si le premier degré côtoie le casse-tête intello, comme chez les plus grands.
Raymond DOMBRECHT - Président d'Honneur du Tennis en Fauteuil Roulant
Echornifleur : nom commun propre au binamé Jean-Claude et à sa chronique hebdomadaire qui est au jeudi ce que le poisson est au vendredi, c'est-à-dire incontournable. Sa sagacité d'esprit et ses digressions irrévérencieuses ont fait que mon facteur ne suit plus son Géoroute afin que ma rétine puisse en profiter au plus tôt.
Christophe GAUDRON - L'Avenir du Luxembourg
Pour peu que nous nous connaissions, Jean-Claude et moi avons au minimum trois points communs. Aimer le sport, ne pas pour autant aimer que le sport, et aimer les mots comme on aime les balles et les ballons : pour les tripoter tant qu'on peut..., mais il est plus tripoteur que moi.
Bernard JEUNEJEAN - Sport Magazine
C'est un talent rare de saisir les mots à la gorge, de leur faire avouer leur sens et d'en jour : d'utiliser les termes précis et surtout de les teinter d'humour. Jean-Claude Hoferlin est un joueur (de mots et de tennis) dans le sens "ouvert" du terme : quand on joue, on apprend.
Jacques MERCIER - R.T.B.F.
Je rêve de faire à la balle ce que l'Echornifleur fait à la phrase. Il construit patiemment, il conclut en finesse et donne du plaisir aux autres.
Olivier ROCHUS - vainqueur Roland Garros 2004 double messieurs
Non, je ne me risquerai pas à essayer de trouver un jeu de mot que l'excellent Jean-Claude Hoferlin n'a pas encore écrit, car je n'ai, il est vrai, pas lu la rubrique chaque semaine et je risquerais donc de ne faire que le plagier. Et j'ai un peu honte d'ailleurs de ne pas découper ses bons mots hebdomadaires, mais, finalement, le dois-je ? Ce serait peut-être trop facile et trop tentant pour moi de les replacer dans un sketch... Bref, quel plaisir d'avoir cette chronique à portée de main gratuitement chez soi. Un grand merci Monsieur l'Echornifleur.
Didier BOCLINVILLE - Humoriste
