traduit du russe par Luba Jurgenson
Quatrième de
couverture
Mikhaïl Saltykov-Chtchédrine, se fait ici chroniqueur de son propre passé. Ecrit entre 1886 et 1889, Le bon vieux temps détrône la famille idyllique à la Tolstoï, faisant d'une galerie de hobereaux et de paysans un véritable tableau de la vie russe. La mort empêcha l'écrivain de terminer sa chronique, qui s'arrête avec l'entrée du narrateur dans l'adolescence...