Rayon Occultisme
Le Bureau des prémonitions : une histoire vraie

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 247 pages
Poids : 326 g
Dimensions : 14cm X 22cm
ISBN : 978-2-35584-792-9
EAN : 9782355847929

Le Bureau des prémonitions

une histoire vraie


Paru le
Broché 247 pages
traduit de l'anglais par Paul Simon Bouffartigue
Tout public

Quatrième de couverture

Et s'il était possible de prévoir les catastrophes ?

Personne, au pays de Galles, n'a oublié ce drame abominable : au matin du 21 octobre 1966, un effondrement de terrain emporte toute une partie du village d'Aberfan. Bilan ? 144 victimes, dont 116 enfants. Parmi les spécialistes envoyés sur place, un membre de la fameuse Société de recherche psychique, le clinicien John Barker. Rapidement, celui-ci découvre que de nombreux habitants du village avaient « senti » quelque chose dans les jours ou les heures ayant précédé la catastrophe. Une petite fille de dix ans a rêvé d'une masse sombre au-dessus d'une école. Un garçonnet de huit ans a dessiné un groupe de gens surmontés du mot « fin ». Au total, soixante-seize « témoignages » de la sorte sont ainsi exhumés.

Fasciné par ces découvertes, Barker met alors sur pied un Bureau des prémonitions, dont la tâche est de récolter les rêves étranges et autres visions de catastrophes. Du pays entier, déjà, les témoignages affluent. Mais aucun ne saura prévoir le destin stupéfiant de ce mystérieux Bureau des prémonitions.

Après avoir signé un article dans le New Yorker consacré au Bureau des prémonitions qui a rencontré un incroyable retentissement, Sam Knight a décidé d'enquêter davantage encore sur ce sujet passionnant pour en tirer un livre. Et quel livre ! Cette extraordinaire histoire vraie, qui bouscule nos plus fermes certitudes et travaille le concept même de réalité, va littéralement vous couper le souffle. Un récit plus fort que toutes les fictions !

Biographie

Sam Knight vit à Londres. Il est journaliste. Après avoir travaillé entre autres pour le Financial Times et le Guardian, il écrit aujourd'hui pour le New Yorker.

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