Le chemin de l'écriture... d'un journaliste alsacien

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 105 pages
Poids : 125 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
EAN : 9782849600719

Le chemin de l'écriture... d'un journaliste alsacien

de

chez J. Do Bentzinger

Paru le | Broché 105 pages

Tout public

19.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Ecolier chahuteur et bagarreur à Lépanges-sur-Vologne pendant la guerre, ce petit alsacien ne change pas, toujours aussi frondeur, à son arrivée à Colmar en 1947. Rien d'étonnant qu'il soit, en classe de 5ème, renvoyé du Lycée Bartholdi, mais bof! Ce qui lui importe par-dessus tout, ce sont ses vacances, rue des Soeurs, à proximité des Soieries Baumann Ainé, chez ses grands-parents à Soultz où il est né. Sa famille y a vécu des années maigres mais heureuses dans cette très ancienne cité, riche en mémoires historiques et ouvrières encore entourée de murailles, très connue pour son particularisme exacerbé. La vie d'ici lui convient, le cadre le rassure.

Au Collège Moderne et Technique de Colmar, Madame K. professeur de français le prend en affection. Elle lui trouve un authentique talent de conteur et lui insuffle la folle ambition de vouloir vivre de sa plume.

Son écriture prend de l'ampleur au Collège Cévenol en pleine construction où, grâce à la recommandation du pasteur B., il est accueilli dans une ambiance un peu sauvage et profondément humaniste.

Journaliste, il débute aux «Dernières Nouvelles d'Alsace» à Strasbourg. Bien vite, il se rebelle, leur claque la porte au nez à deux reprises, le regrettant presque immédiatement! Il aboutit par hasard à «L'Alsace» le journal mulhousien. Pendant 30 ans, il écrit chaque jour billets, échos, «petits papiers» dans un genre populaire et familier qu'il invente avec un regard particulier sur le sport, son jardin préféré.

L'histoire vraie, souvent drôle, d'un parcours peu ordinaire.

Biographie

Francis Braesch, né en 1932 à Soultz (Haut-Rhin) auteur de plusieurs ouvrages qui puisent leur vigueur dans la sève populaire, remporte en 1975 le Grand Prix National du Meilleur Article Sportif et devient ainsi le premier journaliste de province à mettre fin à 18 années d'hégémonie de la presse parisienne.