Le cinéma comme élégie : conversations avec Peter Bogdanovich

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 256 pages
Poids : 1114 g
Dimensions : 21cm X 26cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37797-050-6
EAN : 9782377970506

Le cinéma comme élégie

conversations avec Peter Bogdanovich

de ,

- One day since yesterday

chez GM éditions

Paru le | Relié 256 pages

Tout public

50.00 Indisponible

traduit de l'américain par Jean-Baptiste Thoret


Quatrième de couverture

« L'oeuvre de Bogdanovich est sans doute l'une des plus passionnantes et secrètes du cinéma américain de ces cinquante dernières années, mais aussi l'une des plus méconnues, en dépit de tout le bien qu'en disent, dès qu'ils en ont l'occasion, Quentin Tarantino, Wes Anderson ou encore Noah Baumbach. »
Jean-Baptiste Thoret

Né en 1939 dans l'état de New York, Bogdanovich débute comme critique de cinéma. En 1968, il réalise son premier film, La Cible, thriller réaliste sur une star vieillissante du cinéma fantastique (Boris Karloff) confrontée à la violence arbitraire de l'Amérique du Vietnam. Deux ans plus tard, Bogdanovich pose sa caméra au Texas et tourne La Dernière séance, en compagnie d'une jeune génération d'acteurs prometteurs (Jeff Bridges, Cybill Shepherd, Timothy Bottoms, Ellen Burstyn) et de Ben Johnson, l'un des acteurs fétiches de John Ford. Après ce film, grand succès public et classique instantané, la carrière de Bogdanovich est lancée : suivront notamment On s'fait la valise, docteur ? (1972), screwball comedy moderne avec Ryan O'Neal et Barbra Streisand, La Barbe à papa (1973), Daisy Miller (1974), Nickelodeon (1976), Saint Jack (1979), Et tout le monde riait (1981), Mask (1985), Texasville (1990) et le récent Broadway Therapy.

Cette conversation entre Peter Bogdanovich et Jean-Baptiste Thoret a débuté en 2009 pour s'achever aujourd'hui. Le réalisateur évoque ses films, ses rencontres, son enfance et ses drames personnels, sa conception de la mise en scène et les coulisses parfois cruelles d'Hollywood. Il aborde ses faits d'armes et ses déboires avec les studios américains, et sa passion pour Orson Welles et Howard Hawks.