Collection(s) : Polar
Paru le 21/08/2010 | Broché 380 pages
traduit du suédois par Philippe Bouquet
Le cri de l'engoulevent
« Qui a vu l'engoulevent voit sa mort », dit un proverbe tant suédois qu'iranien à propos d'un oiseau connu aussi pour annoncer le printemps. La ville tranquille d'Uppsala est le théâtre d'une série d'actes de vandalisme. Les vitrines de la rue commerçante volent en éclats et un jeune homme est retrouvé assassiné. Des groupes néo-nazis aux populations immigrées, tout le monde est suspecté, jusque dans les rangs de la police.
À peine revenue de congé parental, la commissaire Ann Lindell partirait bien en vacances : elle peine à calmer les ardeurs de son collègue Ola, et on vient de l'inviter en voyage en Thaïlande. Qui ? Le bel Edvard. Son amant perdu, le seul homme avec lequel elle aurait bien voulu vieillir.
« Le cri de l'engoulevent est passionnant, extrêmement bien écrit et tout simplement excellent. »
Gelfe Dagblad
« Kjell Eriksson est désormais l'étoile la plus brillante dans le ciel des polars suédois. »
Västerviks-Tidningen
Kjell Eriksson est né en 1953 à Uppsala en Suède. Il entame une carrière de jardinier et fait de la rose son domaine de prédilection. Un reportage qu'il réalise sur la vie d'agriculteur l'amène à troquer le sécateur contre la plume.
Déjà paru : La terre peut bien se fissurer, Le cercueil de pierre, et La princesse du Burundi.