Quatrième de
couverture
Le dernier délire permis, en une espèce d'exorcisme qui prend sa source dans le Dom Juan de Molière, explore le « nouveau désordre amoureux ». Dans une langue crue aux accents violemment urbains, cette pièce est le cri d'une génération qui se croit perdue, dans un monde où l'amour paraît être l'antithèse de la liberté.