Le dernier sablier

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 190 pages
Poids : 280 g
Dimensions : 15cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84191-382-4
EAN : 9782841913824

Le dernier sablier

de

chez Godefroy de Bouillon

Paru le | Broché 190 pages

22.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Officier de police de 1981 à 2011, quand il rend sa carte et son arme, le commandant Conrad aura passé trente ans en PJ. Un parcours commençant par la 7e BT à Nanterre, pour se terminer à la DCPJ à Nanterre, en passant par le regretté 36 quai des orfèvres à Paris et le SRPJ de Strasbourg. La boucle de la PJ était bouclée. La chasse aux trafiquants de stups sera sou fond de commerce durant plus de deux décennies. Il sera également pendant quinze ans moniteur de tir, chose rare chez les officiers de police. Sur la fin quand il aura fait le tour de l'enquête de police, lassé des lourdeurs du système judiciaire, il se consacrera à la formation opérationnelle de ses collègues non seulement en France mais aussi à l'étranger : « Espérer le meilleur, se préparer au pire » un adage à méditer en ces périodes très troublées. Avec « Le dernier sablier » Jean-Michel Conrad signe là son sixième polar. Qui mieux qu'un ancien flic peut avoir cette aisance dans l'authenticité des personnages et la crédibilité de l'enquête.

Henri commandant à la PJ, Alphonse vieux libraire, Léo ancien flicard de la BAC, Christian braqueur depuis longtemps rangé des voitures, et Lucas vidéoman d'un para-club. Que peuvent avoir en commun ces cinq personnages ? Un cancer, un crabe du nom de cette bestiole qui cavale de travers. Un truc qui n'arrive pas toujours qu'aux autres. Alors quand ça vous tombe sur le coin de la figure, à force de gamberger, il peut parfois vous prendre une envie furieuse de faire, sans plus attendre, des choses que la morale réprouve et surtout que le code pénal condamne. C'est ainsi qu'Henri, chef de groupe charismatique, va entraîner ses quatre compères dans une aventure sans retour et dont tous connaissent l'issue fatale. Seul impératif, ne pas se faire prendre, car la PJ a mis sur le coup l'un de ses plus fins limiers. D'autant plus que la justice d'ordinaire bien timorée, risque cette fois de montrer les crocs. La seule incertitude, auront-ils assez de temps pour soigner leur sortie ?

Du même auteur : Jean-Michel Conrad