Le forgeur de merveilles : et autres nouvelles

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 221 pages
Poids : 330 g
Dimensions : 14cm X 24cm
Date de parution :
EAN : 9782843622083

Le forgeur de merveilles

et autres nouvelles

de

chez Terre de brume

Collection(s) : Terres fantastiques

Paru le | Broché 221 pages

18.50 Indisponible

traduit de l'anglais par Jacques Papy, Claude Fierobe | préface Claude Fierobe


Quatrième de couverture

Rêves et cauchemars, fantômes ricanants, créatures animées ou invisibles, mondes microscopiques... l'oeuvre de Fitz-James O'Brien met en scène les grands thèmes classiques de la littérature fantastique. Son univers macabre et merveilleux, a non seulement marqué l'histoire de la littérature fantastique, mais a également inspiré les plus grands : Ambrose Bierce, H.G. Wells, Francis Marion Crawford, Abraham Merritt - et même Maupassant !

Disparu prématurément, Fitz-James O'Brien est l'un des piliers de la littérature fantastique américaine du XIXe siècle, au même titre qu'Edgar Allan Poe ou Nathaniel Hawthorne.

Sa gloire littéraire - posthume - a tardé à franchir l'Atlantique et c'est à partir des années 1950, sous l'impulsion d'Edmond Jaloux et du milieu surréaliste, que quelques contes de Fitz-James O'Brien sont traduits et appréciés du public français. La présente édition regroupe tous les textes connus dans une traduction révisée à partir des parutions originales en périodiques, et ajoute deux textes inédits.

Biographie

Né en Irlande en 1828. Fitz-James O'Brien émigre aux États-Unis en 1852 pour y chercher fortune. Il s'installe à New York où il mène une existence «bohémienne» et vit de sa plume, publiant poèmes et nouvelles dans différents périodiques. Si ses nouvelles abordent fréquemment les genres sentimental et satirique, c'est dans le registre fantastique et macabre qu'il excelle et qu'il donne la pleine mesure de son talent. Surnommé le «Poe celtique», il partage avec le maître du fantastique américain, selon les termes du grand critique Eduard O'Brien «le même amour passionné de la femme spectrale, la même motivation démentiellement rationnelle du crime, les mêmes défenses artificielles contre la moindre révélation touchant la personnalité de l'écrivain». Engagé durant la guerre de Sécession, il est grièvement blessé et meurt de ses blessures le 6 octobre 1869.