Quatrième de
couverture
Résolument à contre-courant dans le débat climatique, l'auteur soutient que le GIEC est une imposture (fulgurante de par le caractère planétaire de son succès) consistant à présenter comme scientifique un projet essentiellement politique. Il s'agit également d'une audacieuse leçon de rigueur administrée par la philosophie à la science.