traduit du suédois par et postf. Elena Balzamo
Quatrième de
couverture
En 1903, dans les affres d'un mariage désastreux, Söderberg rencontre une jeune femme dont il tombe éperdument amoureux. Quand elle le quitte, il n'a qu'un seul échappatoire : fuir. Il s'installe à Copenhague et ne reviendra jamais à Stockholm. En 1912, quand le passé est mort, il peut ériger un monument à cette douleur. Une oeuvre d'art si parfaite, qu'elle sera son dernier roman.