Quatrième de
couverture
Ce récit onirique part d'un objet d'art : le tableau intitulé Le joueur de théorbe de Bronzino (1503-1572). Le personnage, Flavio, inspiré de cette toile, portrait du Bronzino échappé de son cadre, devient peu à peu inaccessible et hante l'esprit du narrateur. Il est un souvenir dont il ne reste que des mots puisque la peinture du Bronzino entre en combustion, ne laissant subsister que le cadre.