Paru le 01/01/1987 | Broché 85 pages
préface Didier Sarrou
Ici, dans Le Jour que voici, commence le martyre de Paul Gadenne, perpétuellement séparé de ce qui le hante: l'image d'une femme, d'un livre, d'une statue, d'un moment passé, d'un îlot humain, d'une langue, finalement du roman lui-même. Et cette séparation n'est pas entre lui et les autres, mais quelque part en lui, au cœur du "château", entre le lieu mental où il se situe et l'objet qu'il scrute, auquel il cherche à donner la forme de ce qu'il "voit".
D.S.