pièce en trois actes
traduit du russe par Jean-Philippe Jaccard | postface Béatrice Picon-Vallin
Quatrième de
couverture
Réhabilité à la faveur de la perestroïka, Erdman retrouve sa place dans l'histoire de la littérature et du théâtre soviétiques aux côtés de Zochtchenko, d'Ilf, Petrov et d'autres satiristes de ces années où l'on commençait à remettre en question le droit de rire. Contrairement au Suicidé, connu par deux traductions, Le mandat paraît pour la première fois en français.