Le matin vu du soir : de la Belle Epoque aux Années folles

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 472 pages
Poids : 650 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 979-10-92733-41-9
EAN : 9791092733419

Le matin vu du soir

de la Belle Epoque aux Années folles

de

chez IBAcom

Paru le | Broché 472 pages

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préface de René Clair


Quatrième de couverture

Le matin vu du soir

Sous le nom de plume de Constance Coline se cache « la plus juvénile des octogénaires », Colette Clément, qui relate son existence de femme dans la course durant le premier quart du XXe siècle, entre Belle Époque et Années folles.

Témoin privilégié de son temps, « CC » a eu la chance d'évoluer dans le milieu raffiné de la grande bourgeoisie, ouvert tant à la littérature qu'aux arts et à la politique. Léon Blum fut son tuteur, Alfred Cortot lui fit faire (sans succès) ses premières gammes, Drieu La Rochelle fut un de ses meilleurs amis. Elle connut les célébrités les plus en vue du Tout-Paris de l'époque : Cocteau, Rodin, Aragon, Tristan Bernard, les Dadas, les Surréalistes, Ravel, Fauré, le Groupe des Six...

Une ronde effrénée qui conduit à la Première Guerre mondiale et reprend de plus belle après : « Nous vivions donc intensément, entrant sans le savoir dans les Années folles qui durèrent jusqu'au krach américain de 1929 et furent une des époques les plus agréables, amusantes, spirituelles, enrichissantes de ce siècle ».

Sa plume, pétillante de vie, d'élégance et d'humour, restitue magistralement la vie quotidienne de son milieu et de tout un passé révolu. Comme le dit René Clair dans la préface : « C'est de la petite histoire sans doute. Mais c'est souvent par la petite histoire que se trouve dessiné avec le plus de vivacité le profil d'une époque ».

Biographie

« CC » (1898-1982), attirée dès son plus jeune âge par la littérature, fit aussi ses études de médecine pour acquérir de la « pâte à écrire ». Auteur connu de l'entre-deux-guerres, « CC » publia divers romans et pièces de théâtre et adapta avec succès des auteurs dramatiques anglais comme John Osborne. Elle s'offrit même le luxe de rater le prix Femina, en 1934, à cause du mot de Cambronne qui effaroucha des membres du jury, offusquées de trouver un tel terme dans son livre...