Le mobilier d'apparat des palais lorrains : sous les règnes des ducs Léopold et François III (1698-1737)

Fiche technique

Format : Relié
Nb de pages : 136 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 24cm X 28cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-87692-823-7
EAN : 9782876928237

Le mobilier d'apparat des palais lorrains

sous les règnes des ducs Léopold et François III (1698-1737)

de

chez Serpenoise

Paru le | Relié 136 pages

Tout public

35.00 Indisponible

préface Hubert de Givenchy


Quatrième de couverture

Le château de la Belle au Bois dormant, celui de Cendrillon hantent longtemps nos rêves et l'esprit de nos enfances !

Elément merveilleux, inséparable contexte des contes de fées, le château surgit ainsi, dans nos imaginations, au sein de paysages enchanteurs dans lesquels l'enfant joueur que nous fûmes souhaiterait non seulement se perdre mais y trouver le sésame ou la clé qui lui en donneraient définitivement l'accès.

Adulte, s'il se presse aux Journées du Patrimoine, c'est souvent pour tenter de pousser les portes dérobées, pénétrer dans les endroits les plus retirés et découvrir l'univers magique habité autrefois par les princesses et les rois.

Ce nouvel ouvrage de l'auteur introduira de lecteur au coeur du Grand Appartement du palais des ducs de Lorraine à Lunéville, mais non comme il aurait pu le faire en suivant les pas d'Alice au pays des Merveilles. L'illusion ici est proscrite. En ouvrant des fonds d'archives pour y découvrir d'antiques inventaires, en frappant à la porte de grandes collections publiques ou privées, françaises ou étrangères, notre guide ressuscite décors intérieurs, ensembles mobiliers comme la chaleur de ces lieux aujourd'hui encore désolés.

En 150 pages et par une multitude d'illustrations inédites, les plus secrets espoirs de pouvoir un jour admirer une restitution des salons d'apparat de Lunéville prennent progressivement corps ; et pour citer la belle expression d'Hubert de Givenchy, ces lignes ne montrent nullement un mirage... mais scellent le devenir de la restauration superbement poursuivie par le Conseil général de Meurthe-et-Moselle et l'architecte en chef Pierre-Yves Caillault, dans une logique dont aucune personne sensée ne saurait désormais s'écarter.