Le nerf de la canne

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 236 pages
Poids : 400 g
Dimensions : 14cm X 21cm
Date de parution :
EAN : 9782840100546

Le nerf de la canne

de

chez Aux arts

Paru le | Broché 236 pages

Tout public

19.90 Indisponible

préface Daniel Taboury


Quatrième de couverture

Gilles Cousin est né en 1949 à Saint-Galmier, paisible bourgade du Forez mais pétillante de son eau. Après l'université, il chemine dans une vie comme tant d'autres presque tranquille, au gré d'un essor économique ébouriffant et dans la quête d'une nature authentique et sincère. Un jour, il dut affronter la meurtrissure arbitraire d'une maladie anarchique et dévorante. Par une confluence exceptionnelle de talents et d'amour, par la résurgence d'un bonheur oublié, par un humble pêcheur « inconscient » de ses mots, il a pu dépasser la souffrance. Il devait un partage.
A travers une passion renaissante, celle de l'eau vive, de la truite et de ses sentiers, il souhaite adoucir l'incertitude compréhensible mais bouleversante du mal par une confiance immodérée dans un entourage souvent disparate mais toujours lié à la vie.
Totalement autobiographique, ce récit approche le plus près de sa vérité.

« ... Mon correspondant - pour faire court - voulait publier. L'imposant manuscrit en attestait plus encore que le courrier qui l'accompagnait. L'auteur souhaitait mon avis impartial et, brûlant les étapes, me sollicitait pour préfacer... La lecture, soudain, abandonne le ton des carnets ordinaires des pêcheurs. Avec une pudeur magistrale, Gilles le dit : "Écrire sa pêche, c'est forcément écrire un peu sa vie. C'est pourquoi, j'ai parfois un peu mélangé les deux pour que l'une fasse mieux comprendre l'autre. Elle m'a aidé à supporter l'instant par le projet qu'elle me proposait m'attirant chaque jour dans de nouveaux rêves vers le lendemain" ... Il est riche d'une émotionqui rend secondaires voire au fond dérisoires ses considérations halieutiques. Si la pêche devait s'apparenter à la maîtrise d'une technique, elle nous aurait tôt ennuyés ! ... »

Daniel Taboury, amateur de lignes