Le passé est une terre étrangère

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 327 pages
Poids : 412 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-7436-1918-3
EAN : 9782743619183

Le passé est une terre étrangère

de

chez Rivages

Collection(s) : Rivages-Thriller

Paru le | Broché 327 pages

21.00 Indisponible

traduit de l'italien par Odile Rousseau


Quatrième de couverture

Le passé est une terre étrangère

Un jour, Giorgio rencontre une femme dans un bar. Au premier abord, il ne la reconnaît pas. Puis les souvenirs affluent et il se retrouve plongé des années en arrière, en 1989 à Bari.

C'est l'année du massacre de la place Tian'anmen et de la chute du mur de Berlin. À vingt-deux ans, Giorgio achève son droit. Il vient de la petite bourgeoisie et s'est fiancé à une étudiante en médecine issue d'un milieu aisé. Sa vie semble toute tracée jusqu'au jour où il fait la connaissance de Francesco, un garçon très séduisant et intelligent, dévoré par un immense désir de revanche. Francesco joue au poker et a mis ses talents d'illusionniste au service de la tricherie. Fasciné, Giorgio devient son partenaire de jeu et son complice. Il découvre alors un monde totalement inconnu : tripots, villas cossues, femmes faciles... Mais plus le temps passe, plus Giorgio subit l'influence de Francesco et, de compromission en transgression, il se voit descendre en enfer.

Thriller psychologique et roman de formation, Le passé est une terre étrangère suscite aussi une réflexion sur le fragile équilibre entre l'aspiration à la sécurité et l'appel de la transgression. Maître des situations et des ambiances, Carofiglio tient son lecteur en haleine jusqu'a un dénouement superbe.

Gianrico Carofiglio est l'une des révélations du roman noir italien contemporain. Sa série consacrée à l'avocat Guido Guerrieri - dont Rivages a déjà publié les deux premiers volets, Témoin involontaire et Les yeux fermés - a connu un grand succès dans plus d'une dizaine de pays.

« Gianrico Carofiglio s'approche au plus près de la douleur, de l'injustice, sans voyeurisme, avec une sensibilité à faire frissonner les retors. »
Martine Laval, Télérama

Du même auteur : Gianrico Carofiglio