Le patrimoine scientifique et technique mondial existe-t-il ?

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 402 pages
Poids : 667 g
Dimensions : 16cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-14-031830-6
EAN : 9782140318306

Le patrimoine scientifique et technique mondial existe-t-il ?

de

chez L'Harmattan

Collection(s) : Patrimoines et sociétés

Paru le | Broché 402 pages

Public motivé

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préface de Christina Cameron


Quatrième de couverture

Le patrimoine scientifique et technique mondial existe-t-il ? Michel Cotte partage avec le lecteur cette interrogation, qui résulte d'une longue expérience internationale, tant de terrain auprès de porteurs de projets patrimoniaux que dans les instances de l'ICOMOS et du Comité du patrimoine mondial. Il dresse un état des lieux de la reconnaissance en cours d'un domaine, qui n'est pas toujours bien compris ni convenablement mis en valeur et dont les traces, présentes de longue date, témoignent du fondement même de nos civilisations. L'enquête entreprise - le bilan de toute une carrière - montre la complexité de la question, l'imbrication de valeurs patrimoniales souvent plurielles, où sciences et techniques sont souvent considérées comme de simples moyens au service de projets de développement édilitaires. L'auteur examine les concepts à l'oeuvre dans l'évaluation des patrimoines, puis traite les aspects méthodologiques qu'ils impliquent.

Biographie

Michel Cotte a une formation initiale de physicien, devenant professeur de lycée. Il se passionne pour l'histoire des sciences et des techniques, domaine dans lequel il soutient une thèse, puis effectue une carrière universitaire. Il s'intéresse aux processus d'innovation et d'adaptation technologique, à la génétique des objets, à la culture des ingénieurs, à la circulation des idées techniques ou encore à la rétroconception numérique des machines anciennes. Il est aujourd'hui professeur honoraire de l'Université de Nantes. Il a réalisé de nombreuses missions pour le Patrimoine mondial de l'UNESCO, en Europe et dans le monde. Il a dirigé les études thématiques de l'ICOMOS sur les patrimoines de l'astronomie et de la gestion de l'eau. Il a présidé la Société française d'histoire des sciences et des techniques.