traduit de l'anglais par Jean Guiloineau
Quatrième de
couverture
Ce roman qu'on pourrait considérer à tort comme pornographique traite en fait du rapport entre le temps de la vie et le temps du récit. La pornographie, détournée de son but habituel, sert à entraîner le lecteur dans une réalité romanesque parfois plus présente et plus violente que la vie elle-même, en lui faisant oublier l'objet même du roman.