Quatrième de
couverture
On crie haro sur l'Etat, source de tous les maux. L'anti-étatisme primaire triomphe. Et si c'était l'inverse? Si l'Etat dépérissait sous nos yeux? Telle est l'idée force des auteurs : si la crise est dans nos têtes, elle est aussi à la tête. C'est de là que doit venir la réforme. Puisque le poisson pourrit par la tête.