Le sang séché des morts

Fiche technique

Format : Broché
Poids : 100 g
Dimensions : 21cm X 21cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84743-222-0
EAN : 9782847432220

Le sang séché des morts

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chez Petra

Paru le | Broché

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illustrations Henri Girard


Quatrième de couverture

« Le sang séché des morts » est une longue errance du poète Jean-Paul Le Bihan au fil de l'Histoire et du Temps, un voyage au coeur des images retenues par sa mémoire, sa culture. Nulle limite à cette perception du monde et des Hommes. Un souffle éperdu, une respiration avide de réalité et d'imaginaire conjugués, un torrent maîtrisé par la sensibilité du peintre Henri Girard.

Biographie

Né en 1944 à Saint-Brieuc, Jean-Paul Le Bihan enseigne l'histoire-géographie à Quimper entre 1970 et 1987. Archéologue professionnel, il pratique cette discipline sans interruption depuis 1970. Il effectue ses recherches principalement dans le Finistère et en Russie. Il publie des synthèses scientifiques dédiées à Quimper et à Ouessant, après avoir monté des expositions internationales au Centre culturel Abbaye de Daoulas (Au temps des Celtes et Rome face aux Barbares).
Par la littérature, il observe et inscrit l'Homme dans l'espace et dans l'Histoire. Un parcours personnel digne d'un roman le conduit à dépeindre l'être humain autant par la poésie (Océans) que par le récit autobiographique (Cheveux d'ange, Le collégien), le journal (Un archéologue en Russie au temps de Boris Eltsine), ou le récit de voyage (Sur le quai de Soukhoum, murmures d'Abkhazie). Son attirance pour la peinture le conduit à approfondir sa réflexion par une expérience originale avec le peintre Henri Girard sur le site archéologique d'Ouessant Mez-Notariou (Empreintes, mémoire d'île).

Né à Lesconil (29) en 1936, Henri Girard dessine et peint depuis l'âge de onze ans. Sa peinture se démarque de la figuration classique pour tendre vers l'essence des choses. Le thème de la marelle qui l'habite pendant vingt ans marque un virage déterminant dans son travail et deviendra la forme totémique qu'il nourrira de ses expériences. À l'occasion de ses voyages, il se passionne pour les sites archéologiques, en particulier Ampurias et les hauts lieux de Dordogne, à quelques encâblures de son atelier de Galibert.
De nombreux carnets de notes témoignent de ce parcours. Sur des supports variés, le carnet de notes, le leporello, curieux de techniques diverses, il travaille par séries, déclinaisons. Peintre de l'empreinte, de la trace, sa démarche s'apparente à celle de l'archéologue. Les travaux qu'il mène par ailleurs avec les poètes sont une autre raison de croiser et baliser, en divers ouvrages, les chemins et parcours sans limites empruntés par Jean-Paul le Bihan.

Du même auteur : Jean-Paul Le Bihan


Du même auteur : Henri Girard