Collection(s) : Graphic
Paru le 29/02/2024 | Broché 134 pages
mise en couleurs Cyrielle Pisapia | postface Elodie Crépel
Cadenassée dans une relation plus que toxique avec son compagnon, Camille n'est plus que l'ombre d'elle-même. Elle est pourtant très entourée, mais la pression exercée par Jonathan, un savant mélange de perversion, de manipulation, de violence et d'emprise, la paralyse. Peu à peu, son entourage prend conscience de sa situation, s'inquiète et tente de la soustraire à ses chaînes invisibles.
Le seuil, c'est la limite de sa tolérance : jusqu'à quand Camille va-t-elle supporter ces agressions ? C'est aussi ce lieu indéfini entre deux zones qu'il suffit de franchir pour que tout bascule. Au seuil d'un nouveau départ, Camille saura-t-elle saisir les mains tendues ?
Fanny Vella
Après une formation en communication visuelle et un virage vers l'accompagnement des enfants porteurs de handicap, Fanny Vella fait le pari d'allier sa passion pour l'image avec son besoin de contribuer à un bousculement des récits.
C'est animée d'une motivation militante qu'elle s'empare des thèmes des violences intrafamiliales, conjugales, éducatives, sexistes et sexuelles pour glisser dans ses livres des messages qui, elle le souhaite, accompagneront ses lecteurs vers plus d'empathie envers les autres et surtout envers eux-mêmes. Elle est l'autrice des BD On l'appelait Vermicelle, Et si on changeait d'angle ? et Coquelicot, et de l'album jeunesse Maëlle n'ose pas dire non.
Cyrielle Pisapia est autrice et illustratrice free-lance, Rouennaise d'origine mais Marseillaise de coeur. Elle travaille pour l'édition, les entreprises et les réseaux sociaux. Elle a mis en couleurs cette bande-dessinée avec beaucoup de sensibilité et de talent. Retrouvez-la sur son compte Instagram @cyrielle.illustration.
Capucine Coudrier est autrice, créatrice de contenus (@ovairestherainbow) et fondatrice d'une agence de communication responsable. Depuis 2020, elle informe sa communauté sur les sujets féministes et LGBTQ+ et témoigne régulièrement, dans les médias et les établissements scolaires, de son expérience en tant que victime de violences conjugales de ses 15 à 18 ans.
