Collection(s) : Science du combat
Paru le 01/11/2004 | Broché 127 pages
Tout public
Pour les Chinois, cela va de soi, c'est leur univers. En revanche, pour les Occidentaux, le Tai Ji Quan martial dans ses dimensions historique, philosophique, culturelle et médicale est un monde à explorer. D'où l'intérêt du regard porté par Maurice Portiche, après bientôt quatre décennies d'entraînement et de réflexion, qui l'ont conduit du Karaté au Tai Ji Quan en passant par la boxe Shao Lin.
Il s'agit bien d'un art de vivre. Les adeptes d'arts martiaux, notamment les karatékas, peuvent y trouver une source d'inspiration. Et à l'heure du «stress», du mal être, de l'insécurité, de l'augmentation de la durée de la vie, pratiquer le Tai Ji martial procure une bonne santé, un équilibre psychologique et une certaine confiance en soi.
Au fil des pages, la lecture de cet ouvrage est une invitation à découvrir les joies et les bienfaits de cette «chorégraphie du corps et de l'esprit» qu'est le Tai Ji Quan.
L'auteur : commençant le Karaté (école Kiokushinkai) en 1967, l'auteur se lançait d'emblée dans une pratique sportive intensive qui lui valut, au début de la décennie 1970, de figurer parmi les Espoirs français. Très rapidement, cependant, il comprit les limites de l'approche compétitive et préféra s'investir dans l'esprit martial. Grâce à Maître J. Kallenbach et à Sato Sensei, il s'initia au Tai KiKen, version japonaise du Yi Quan chinois, tout en continuant le Karaté.
Diplomate, c'est à la faveur de ses affectations au Laos, à HongKong, en Chine et au Japon qu'il put approfondir ses connaissances aux contacts de maîtres chinois de Shao Lin Quan et de Tai Ji Quan.
Le Tai Ji Quan auquel il s'adonne aujourd'hui est une synthèse des disciplines externes et internes qui ont jalonné son itinéraire dans les arts martiaux.
