traduit de l'espagnol par François-Michel Durazzo
Quatrième de
couverture
Espagne, 1912. Tandis que Corcoles, le beau-père du héros, ne peut supporter la retraite paisible qu'il s'est préparée dans son domaine de Torrelodones, où il élève des taureaux de combat, Caracho, fils d'une concierge et d'un garde civil de Madrid, fait vibrer le public des arènes. La poésie de ce roman de la corrida écrit en 1926 éclaire le vocabulaire taurin.