Le vivant et la révolution : réinventer la conservation de la nature par-delà le capitalisme

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 326 pages
Poids : 308 g
Dimensions : 12cm X 22cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-330-18307-3
EAN : 9782330183073

Le vivant et la révolution

réinventer la conservation de la nature par-delà le capitalisme

de ,

chez Actes Sud

Collection(s) : Mondes sauvages : pour une nouvelle alliance

Paru le | Broché 326 pages

Tout public

23.00 En stock dans notre réseau
Ajouter au panier

préface d'Antoine Chopot et Baptiste Morizot | traduit de l'anglais par Antoine Chopot


Quatrième de couverture

Le vivant et la révolution

Réinventer la conservation de la nature pardelà le capitalisme

Quel est l'avenir de la protection de la nature dans l'Anthropocène ? Le vivant et la révolution présente sous un jour neuf l'actuel débat mondial sur la conservation. Bram Büscher et Robert Fletcher offrent une cartographie des principales positions en présence. Ils montrent comment le capitalisme et la conservation partagent une histoire commune, que certains aimeraient prolonger, mais qui doit, selon eux, être dépassée si nous voulons continuer à vivre dignement avec les autres vivants sur une planète habitable.

Les auteurs formulent en ce sens leur propre alternative, la « conservation conviviale », inspirée de nombreux mouvements - autochtones, décroissants, pour les communs - qui réinventent déjà sur le terrain des formes postcapitalistes et postdualistes de soin de la nature. Une approche réaliste mais plus radicale, révolutionnaire, s'avère nécessaire, dépassant les alliances avec la mondialisation capitaliste et la dichotomie humain-nature.

Suivi d'un entretien avec les auteurs réalisé par Antoine Chopot.

Biographie

Bram Büscher est politologue et Robert Fletcher anthropologue de l'environnement (Université de Wageningen, Pays-Bas).
Ils se sont tous deux intéressés à k conservation de k nature et à l'écotourisme dans leurs dimensions économiques et écologiques, dans le cadre de ce que l'on appelle la
political ecology.