Les abolitions de l'esclavage, en Guyane, 1794 et 1848

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 95 pages
Poids : 438 g
Dimensions : 22cm X 27cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-37520-520-4
EAN : 9782375205204

Les abolitions de l'esclavage, en Guyane, 1794 et 1848

chez Ibis rouge

Collection(s) : Le jeune historien guyanais

Paru le | Broché 95 pages

Enseignants

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avec la collaboration de Philippe Guyot | préface Jean-Pierre Bacot


Quatrième de couverture

Fidèle à son projet d'oeuvrer pour la diffusion du savoir historique, l'Association des professeurs d'histoire-géographie de Guyane (aphg-g), en partenariat avec le Conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement (CCEE) de Guyane et le soutien du Rectorat de la Guyane et de la Collectivité territoriale de la Guyane, propose cette année scolaire 2016-2017, la quatrième édition du « Concours du jeune historien guyanais ». Celui-ci s'adresse aux élèves des écoles primaires, des collèges et des lycées et aux étudiants de l'académie de la Guyane.

Il concerne les abolitions de 1794 et 1848 en Guyane. Si l'abolition de 1794 n'a duré que huit ans et a longtemps été occultée, c'est que le contexte dans lequel elle s'est imposée demeure une période peu connue de l'histoire de la Guyane ; elle a cependant ouvert une brèche dans le système esclavagiste. Le rétablissement de l'esclavage en 1802 provoque d'ailleurs une recrudescence de la résistance à l'esclavage. L'abolition de 1848 est l'aboutissement d'un long processus et signe l'acte fondateur de la société guyanaise par les mutations qu elle entraîne. Sa commémoration en Guyane le 10 juin, marque une étape dans 1 appropriation de cette histoire et répond à des enjeux de société.

Cet ouvrage ne traite pas de façon exhaustive, l'ensemble de la période, mais veut fournir au lecteur des documents écrits et iconographiques conservés dans les archives, les bibliothèques et les musées, notamment en Guyane. Il s'agit donc de multiplier les perspectives : échelle locale, internationale, temps long, court pour comprendre l'impact de ces événements, enfin d'appréhender leur portée et leur réappropriation par la société civile à travers les commémorations.