Les cloches de La Brésilienne

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 223 pages
Poids : 340 g
Dimensions : 15cm X 23cm
Date de parution :
EAN : 9782911412417

Les cloches de La Brésilienne

de

chez Vents d'ailleurs

Paru le | Broché 223 pages

16.00 Indisponible

Quatrième de couverture

À la criminelle, on a toujours confié à l'inspecteur Azémar Dieuswalwe les enquêtes les plus farfelues. Il faut dire que son goût immodéré pour le tranpe, boisson haïtienne explosive concoctée avec de l'alcool de canne, des racines, des feuilles ou des écorces, ne le rend pas très fiable aux yeux de ses supérieurs. Mais jamais il n'aurait pensé qu'il serait envoyé dans ce bled perdu de La Brésilienne, au fin fond de la campagne haïtienne pour essayer de résoudre l'énigme de l'enlèvement... du son des cloches d'une église. Les cloches sont bien là, mais elles ne sonnent plus, voilà. Seulement, du son de ces cloches dépend l'issue de la guerre terrible que se livrent le député et le maire... Alors, comment se débrouiller quand on est une épave alcoolique et que l'on est aux prises avec un curé breton devenu insomniaque, une Dominicaine à la beauté torride qui vous tombe dans les bras alors qu'elle est convoitée par les deux plus hautes autorités du village, un pasteur prêt à tout pour accroître son pouvoir, une société secrète pas commode du tout... et ce tranpe qui décidément provoque un mal de tête... carabiné !

Pour le plus grand bonheur de ses lecteurs, Gary Victor, lauréat du Prix RFO 2004 pour son roman je sais quand Dieu vient se promener dans mon jardin, plonge dans le polar avec une jubilation communicative et cette imagination débordante qu'on lui connaît !

Biographie

Né à Port-au-Prince, Gary Victor est incontestablement l'un des romanciers haïtiens les plus lus dans son pays. Outre son travail d'écriture, il est aussi scénariste pour la radio, la télévision et le cinéma. Ses créations explorent sans complaisance aucune le mal-être haïtien pour tenter de trouver le moyen de sortir du cycle de la misère et de la violence.
Il a obtenu en 2003 le prix du Livre insulaire pour À l'angle des rues parallèles et en 2004 le prix RFO pour Je sais quand Dieu vient se promener dans mon jardin.

Du même auteur : Gary Victor