traduit de l'anglais par Marcel Schowb
Quatrième de
couverture
Fasciné par l'intelligence de Kant, l'écrivain raconte de façon clinique la décrépitude, les défaillances, la déchéance physique jusqu'à l'agonie. Publié en 1827, ce récit des derniers moments du philosophe, par un de ses prétendus secrétaires, est inspiré en fait des mémoires de différents contemporains de Kant, publiés en 1804, l'année de sa mort. De Quincey se révèle aussi dans ce texte.