Les deux vies de Soyouz

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 415 pages
Poids : 772 g
Dimensions : 25cm X 17cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-84608-266-2
EAN : 9782846082662

Les deux vies de Soyouz

de ,

chez Edite

Collection(s) : Histoire des sciences

Paru le | Broché 415 pages

Tout public

29.00 Indisponible

Quatrième de couverture

Les Deux Vies de Soyouz décrit l'épopée technologique d'une fusée de légende dont on n'a pas fini d'entendre parler ! D'abord baptisée R-7 et développée par le célèbre constructeur Serguei Korolev entre 1954 et 1957, elle fut le premier missile intercontinental au monde. Au cours des cinquante premières années de la conquête spatiale, cette véritable 2 CV de l'espace a lancé les premiers satellites, les premières sondes planétaires, tous les cosmonautes russes, et un très grand nombre de satellites militaires.

Fin 2010, elle entamera une seconde vie avec son premier vol depuis Kourou, en Guyane française.

Au milieu des années 1990, la France et la Russie entreprennent de commercialiser le lanceur sur le marché international, aboutissant à la création de la société commune Starsem, en 1996. En quinze ans, Starsem effectue plus de vingt tirs commerciaux depuis Baïkonour. L'Europe décide alors d'intégrer le Soyouz dans sa famille de lanceurs, avec la construction d'une plate-forme de tir au Centre spatial guyanais.

À partir de 2010, la fusée sera lancée depuis Baïkonour, Plessetsk et la Guyane au rythme d'une quinzaine par an.

Biographie

Journaliste et écrivain, Christian Lardier est chroniqueur spatial, chef de la rubrique Espace dans Air & Cosmos depuis de nombreuses années. Il est l'auteur de L'Astronautique soviétique (Dunod 1992).

Stefan Barensky, journaliste spatial indépendant (Espace Magazine, Science & Vie...), est aussi consultant stratégique et écrit pour l'industrie et les agences spatiales, en particulier l'Agence spatiale européenne.

Stéphane Corvaja, photographe officiel de l'ESA, a commencé sa carrière au service optique de Kourou avant de passer à la photothèque du Cnes, puis à l'ESA en 1997. Il a vu plus de 70 lancements et atterrissages spatiaux dont plus de 20 à Baïkonour.