et autres nouvelles
traduites de l'anglais (Etats-Unis) par Claire du Parc et Aude de Mézerac
Quatrième de
couverture
L'auteure évoque sans complaisance l'hypocrisie et la vacuité des rapports humains au sein de la famille et de la société américaine du début du XXe siècle, dénonce un monde corrompu par l'argent, prend ses distances avec des faits relatés avec objectivité mais aussi ironie, et observe les écrivains en herbe, les maisons d'éditions et des artistes qui ont le tort d'être à la mode.