Quatrième de
couverture
Qui aspire à s’unir au monde doit consentir à son chaos Non moins qu’à profaner l’indivisible corps de la lumière Par le recours provisoire à quelques signes crépusculaires, Arrachés au versant aride de la parole d’un dieu sans voix. Et il n’est nul chemin alors que l’éclair chargé d’un feu ancien...