Les fêtes juives : réflexions sur les solennités du judaïsme : commentaires sur le Cantique des cantiques, les lamentations, l'Ecclésiaste et le Livre de Job

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 190 pages
Poids : 270 g
Dimensions : 15cm X 24cm
Date de parution :
ISBN : 978-2-204-07903-7
EAN : 9782204079037

Les fêtes juives

réflexions sur les solennités du judaïsme
commentaires sur le Cantique des cantiques, les lamentations, l'Ecclésiaste et le Livre de Job

de

chez Cerf

Collection(s) : Patrimoines

Paru le | Broché 190 pages

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traduction et notes de Philippe et Gérard Haddad | préface Gérard Haddad


Quatrième de couverture

Judaïsme

Les fêtes et solennités occupent une place essentielle dans le judaïsme, elles incarnent les grandes valeurs et véhiculent le message de cette foi qui, la première, proclama le monothéisme. Elles résument sa geste légendaire, tragique et joyeuse.

Au cours de sa réflexion sur les fêtes, Yeshayahou Leibowitz bouscule bien des idées préconçues sur le judaïsme : sur le rôle de Dieu dans l'histoire, sur l'importance relative des différentes fêtes...

C'est aussi l'occasion pour l'auteur de commenter les « rouleaux » - Cantique des cantiques, Ruth, Lamentations, Ecclésiaste - lus lors des célébrations.

Ce livre, transcription de causeries hebdomadaires à la radio de 1975 à 1982, comble une lacune dans les publications en langue française où il n'existe aucun ouvrage couvrant la totalité de la liturgie juive.

Biographie

Yeshayahou Leibowitz (1903-1994) fut l'un des intellectuels les plus marquants de la société israélienne. Médecin, biochimiste, philosophe, il occupa différentes chaires a l'université de Jérusalem. Connu pour ses positions dans le conflit israélo-palestinien et sa violente critique de la politique israélienne, ce fut aussi un homme d'une foi religieuse ardente qui chercha à définir les problèmes nouveaux qui se posaient au judaïsme en ce moment de son histoire, face à la modernité et a la réalité de l'État d'Israël. Sa référence théologique quasi exclusive était Maïmonide, pour qui il professait une immense admiration.