Les finances en province sous l'Ancien Régime : journée d'études tenue à Bercy le 3 décembre 1998

Fiche technique

Format : Broché
Nb de pages : 366 pages
Poids : 540 g
Dimensions : 16cm X 22cm
Date de parution :
EAN : 9782110909411

Les finances en province sous l'Ancien Régime

journée d'études tenue à Bercy le 3 décembre 1998

chez Comité pour l'histoire économique et financière de la France-IGPDE

Collection(s) : Histoire économique et financière de la France

Paru le | Broché 366 pages

Public motivé

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édition Ministère de l'économie des finances et de l'industrie, Comité pour l'histoire économique de la France


Quatrième de couverture

«L'Etat français vit, sous l'Ancien Régime comme aujourd'hui, de et par la province. Partout, des officiers, des particuliers qui se sont mis au service de l'Etat, des Etats provinciaux ou de l'Eglise ou qui ont été élus pour ce faire, s'activent pour que les différentes caisses soient alimentées. Par quel cheminement l'argent des tailles parvient-il des paroisses aux chefs-lieux d'élection et de là aux recettes générales puis à Paris ou à Versailles ? [...] Comment les Etats provinciaux s'organisent-ils pour asseoir et opérer les prélèvements qu'ils consentent à la monarchie ? [...] Comment la capitation, le vingtième, et les nouveaux impôts se mettent-ils en place, sont-ils perçus et évoluent-ils ? Quel intérêt l'Etat trouve-t-il à cette juxtaposition d'organismes et de fonctions et que lui revient-il, une fois les charges qu'il admet devoir rester dans les caisses régionales, déduites ? Quel poids financier supportent réellement, année après année, les populations, toutes impositions additionnées et toutes décharges ôtées ? [...]

Sur toutes ces questions une mise au point s'imposait. Les Actes de cette journée s'y attachent en deux temps : en dressant un état des lieux à partir d'études de cas qui conduiront le lecteur du Nord au Dauphiné via la Normandie, la Bretagne, l'Anjou, la Guyenne et l'Auvergne puis au-delà de l'inévitable diversité, en dégageant, des pratiques communes et des résultats généraux [...]». Françoise Bayard.