Les fleurs de l'âme

Quatrième de couverture

Cinglante réplique opposée à ces pseudo-intellectuels et autres idéologues qui, par condescendance, estiment que l'Afrique et surtout l'homme noir n'ont jamais rien apporté à l'Histoire, ce recueil de poèmes se pose et s'impose comme un argumentaire en faveur de la grandeur de la civilisation négro-africaine. Belle survivance de la négritude !

Par ailleurs, à travers plusieurs poèmes, l'auteur rend hommage, témoigne sa gratitude et salue les grandes figures de l'humanisme mondial. Des promoteurs de la paix, de la science, de la bienfaisance et de la culture sont célébrés. Dans un style fait de satire, d'ironie et d'humour, il tourne en dérision certains acteurs sociaux de tous les domaines et propose comme modèle des vertus universelles qui élèvent l'Homme.

On comprend alors Les fleurs de l'âme comme un livre qui dévoile l'éloquence, la pétulance et la prestance d'un écrivain-poète qui sait faire preuve d'engagement pour les grands problèmes contemporains, sans toutefois se départir de son âme esthétique. Ce recueil opère, par moments, une rupture par rapport à son précédent Soupirs de l'âme (2011, Harmattan) et présente des indices de continuité, de constance et d'évolution ou d'approfondissement de l'art de cet amoureux des choses de l'âme.

Biographie

Eustache Omgba Ahanda est un haut fonctionnaire camerounais du ministère des Enseignements secondaires. Ses études supérieures en sciences sociales, sa formation professionnelle en sciences de l'éducation et ses centres d'intérêts heuristiques actuels dans les universités camerounaises et françaises font de lui tout simplement un spécialiste des humanités et un intellectuel accompli, l'espèce dont a besoin une Afrique et un monde en crise de vrais éclaireurs. C'est un veilleur, un éveilleur, un centurion de la patrie, qui sonne le tocsin pour sortir son peuple de la caverne des turpitudes, de l'ignorance, de la dormance et des belligérances.

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