Quatrième de
couverture
Le jardin, mieux que le cadran solaire où glissent les ombres et les heures, révèle ce qui demeure, ce qui passe et ce qui change. S'y ressent, avec la fuite des jours, une nostalgie essentielle : celle de la Terre-mère. Lorsqu'elle bine, taille, éclaircit dans ce jardin où tout est symbole, la mère apprend en silence, à l'enfant qui semble rêvasser, les gestes à poser un jour sur la page.